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  le blog soueich

Toute l'actualité du monde, de la France, du Comminges, de Soueich. Informations alternatives aux médias menteurs.

L’appareil du PS s’écrase

tgb - rue-affre

samedi 28 mars 2015, par Comité Valmy

 

L’appareil du PS s’écrase

A ce stade des investigations, et grâce à l’analyse minutieuse de la boîte noire, on connaît un peu mieux maintenant l’enchaînement des faits qui conduisit au crash de la gauche, enfin d’une certaine gauche solférinienne en ce mois de mars 2015.

 

C’est donc bien le jeune copilote inexpérimenté Manuel Valls aux 5% d’heures de vol tout mouillé qui, enfermé dans son cockpit a délibérément actionné le bouton programmant la descente inexorable et vertigineuse de l’appareil (du PS) vers le crash.

 

D’ailleurs, l’on sait, après une enquête scrupuleuse, qu’il aurait, il y a quelques mois, prévenu de ses intentions malfaisantes en envisageant de changer le nom de la compagnie et en déclarant carrément :

 

« oui la gauche peut mourir »

On se doutait déjà qu’il serait pour quelque chose dans cette mort programmée, on n’imaginait pas qu’il était prêt à sacrifier ses millions d’électeurs coincés à l’intérieur.

 

Le déroulement probable des évènements :

On entend très distinctement sur la bande magnétique retrouvée dans la boîte noire, le pilote François Hollande ancien capitaine de pédalo recyclé dans l’aérien lowcost, sortir du cockpit pour aller faire un brin de causette à l’hôtesse Julie Gayet.

 

Puis quelques minutes plus tard, on entend ce même commandant de bord tambouriner mollement à la porte blindée et verrouillée du cockpit. Selon la stratégie bien connue du pilote Hollande – « je tambourine un peu mais pas trop histoire de pas déranger » ou « je suis l’ennemi de la finance mais I am not dangerous ! »

 

Une certaine aptitude en effet à s’écraser.

On perçoit également dans la bande son quelques mots de Pierre Laurent , le chef de cabine inquiet mais philosophe, se disant qu’après tout, perdu pour perdu, autant profiter encore huit minutes de son siège éjectable et de son plateau repas.

 

On reconnaît également la voix du jeune Macron, l’un des stewart assurant péremptoire, que tout cela ne serait pas arrivé s’ils avaient choisi l’autocar et se désolant de ne pas avoir pris plus tôt le virage du Thatchérisme en privatisant le bastringue et en misant sur le pilotage automatique à réduire les coûts.

 

« Une gestion quand même plus moderne » conclue-t-il, tout en ajustant son parachute doré.

Vers la fin de la bande magnétique on distingue en fond sonore assez précisément la psalmodie du second stewart JC Cambadélis répétant inlassablement et à mesure que l’appareil se rapproche dangereusement du sol et de ses habitations « plus proche de vous, plus proche de vous, plus proche de vous… » tandis que domine la voix du contrôleur aérien Jean Luc Mélenchon implorant fermement l’équipage suicidaire d’attaquer la cloison du cockpit à la hache sous les commentaires moqueurs de son assistante Clémentine Autain, le traitant de dangereux complotiste voyant le mal partout.

 

Une fine analyse de Clémentine qui finit visiblement par aller se faire éplucher ailleurs.

 

Voilà à peu près reconstitué le vol kamikaze de l’appareil socialiste bien décidé à exploser en plein vol mais au final privilégiant le crash au sol tandis que les passagers résignés, se laissaient à ironiser sur le slogan de la compagnie : le changement c’est maintenant !

 

Ils ne le voyaient pas comme ça.

tgb

rue-affre
La révolution en tongs

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